Hôpital Michel Fontan 1 2 Rue André Verhaeghe, 59037 Lille, Nord
À propos
Bienvenue à l'Hôpital Michel Fontan 1, un établissement de santé de renom situé au cœur de Lille, sur la Rue André Verhaeghe. Notre hôpital est un point d'intérêt majeur dans la région, offrant des soins de haute qualité et des services médicaux de pointe à nos patients.
Fondé sur des valeurs de compassion, d'expertise et d'innovation, notre hôpital s'engage à fournir des soins de santé exceptionnels à tous ceux qui franchissent nos portes. Que ce soit pour des consultations médicales, des interventions chirurgicales, des soins d'urgence ou des traitements spécialisés, notre équipe de professionnels qualifiés est là pour répondre à tous les besoins de santé de nos patients.
En tant qu'établissement de santé de premier plan, nous mettons un point d'honneur à offrir un environnement accueillant, sécuritaire et confortable à nos patients et à leurs familles. Notre infrastructure moderne et nos équipements de pointe nous permettent de fournir des soins de qualité supérieure dans un cadre propice à la guérison et au bien-être.
Que vous soyez à la recherche de soins médicaux, de conseils spécialisés ou de traitements avancés, l'Hôpital Michel Fontan 1 est là pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé. Nous sommes fiers de servir la communauté de Lille et de ses environs, et nous nous engageons à être un pilier de la santé et du bien-être pour tous ceux qui ont besoin de nos services.
Nous vous invitons à découvrir tout ce que notre hôpital a à offrir et à nous contacter pour tout renseignement supplémentaire. Merci de nous faire confiance pour vos besoins de santé.
Avis
"Je conseilles fortement aux patients de ne pas etre hospitalisé dans cette établissement, notamment, par rapport à des propos venant d'un psy, qui travaille également en collaboration avec les urgences de Lille. Incapable de poser un diagnostic différentiel, il a essayé d'hospitaliser mon frere ayant un handicap moteur et neuro, sous contrainte sous un motif de risque suicidaire . Menacant d'appeler la police s'il sortait des urgences alors qu'il venait initialement pour un probleme d'origine somatique. Or, omnibulé par son diagniostic completement faux car il y avait surtout une non prise en charge de la douleur et d'autant plus que celui confit à un entretien etre consommateur d'un mesusage certain, de cannabis et de traitement divers. Et malheureusement ce n'était pas de la calomnie mais la réalité! Et tout a été prouvé par la suite qu'il s'agissait bien d'un probleme par la suite somatique en gastroentérologie. Il ferait mieux de revoir sa facon d'établir son diagnostic, arrêter de tyraniser, et revoir les droits des patients et son serment d'Hippocrate."
"Deux heures d'attente pour me prendre en pleine face "Votre vie je m'en fiche un peu", suivi d'une troisième heure pour juste recevoir une lettre me baladant dans un autre site de l'EPSM. Si vous devez gérer une forme d'urgence psy (crises d'angoisses a répétition pour mon cas), allez voir directement votre médecin traitant, qui aura des conseils bien plus avisés. Je ne parle pas non plus du staff nonchalant, de la salle d'attente blindé sans même, je sais pas, une fontaine à eau au minimum ? Personne ne vient se soucier de nous, j'ai vraiment eu l'impression d'être parqué comme du bétail. J'en ressors encore plus angoissé, stressé. Bref, pour une urgence, fuyez."
"Je suis arrivée au CAC pour tentative de suicide, avec une vraie volonté de sortir de la dépression mais je n'ai jamais été aussi mal que lors de ma première semaine ici. Déjà ce que je trouve le plus scandaleux c'est qu'on vous dit que vous n'allez rester que 3 jours environ mais que nenni!! La plupart des résidents restent environ une semaine et j'y ai passé 16 jours !! Même les concierges finissaient par s'interroger. La raison de ce long sejour est simple: Les psy que nous voyons chaque jours sont très sympa et aident vraiment à aller mieux, mais chaque semaine, le psy en chef (celui qui decide si on peut sortir) vient et voit tous les patients. Ce jour là il n'était pas rare (a chaque fois) de voir des gens revenir de la séance en pleurs, effondrés et démoralisés alors qu'ils commençaient à sourire, rire et aller mieux les jours/ heures précédentes, ça a aussi été mon cas (après tout je suis restée 13 jours de plus que ce qu'on m'avait annoncé et chaque fois on me disait que je pourrais sortir à la prochaine visite de ce psy). Ensuite il y a le temesta, un autre gros problème de ce centre. Comme pour la grande majorité des patients, on m'en donnait 4 fois par jour!! J'arrivais à n'en prendre que 3 la plupart du temps en allant me coucher tôt, mais parfois on venait me reveiller pour que je prenne celui du soir, que je n'avais bien sur pas le droit de refuser. C'est une dose beaucoup trop grande, surtout pour quelqu'un qui n'a jamais été sous medication avant, ce medicament, prescrit comme un bonbon nuit fortement à l'activité cérébrale, au point que même faire 3x4 est un vrai defi (anecdote vraie). Maintenant parlons du tabagisme. Avant de venir j'étais une fumeuse très occasionnelle (moins de 1 cigarette par semaine) et depuis mon sejour je fume presque un paquet par jour! Et ça s'explique très simplement: le stress de ne pas pouvoir sortir, ne pas pouvoir penser correctement, le manque total d'activités, l'impression d'être abandonnés et laissés à nous même ect... Dans l'état mental desastreux dans lequel on est laissés là-bas, fumer devient presque inevitable (et je felicite les patients ayant reussi à resister à la tentation). Bien sur je pourrais continuer très longtemps entre l'interdiction de danser, l'apathie de certains soignants, l'enfer des prises de sang... Mais je préférerais finir sur une note positive: J'ai fait de très belles rencontres et ai passé de bons moments avec les autres patients (la protestation du miel reste un magnifique souvenir), Les techniciens de surface sont très gentils et sympathiques, Vu que les infirmiers et les soignants restent constamment dans leurs bureaux nous restons très libres en tant que patients (a condition de rester hors de leur champ de vue)"
"Après avoir atterri à l'hôpital Saint Vincent de Paul je me suis rendu ici sous les conseils de la thérapeute qui m'a prise en charge, à regret. Je n'ai pas compris la prescription du Temesta comme si c'était un bonbon, il m'a suffit d'en ingérer un pour constater que les dégâts sont toujours présent après sept mois, j'ai des difficultés de concentration, des troubles du sommeil et suis devenue plus facilement irritable. Je sens carrément une déconnexion au niveau de mon lobe frontale. Je trouve hallucinant qu'on puisse prescrire ce médicament à une personne ayant fait une TS et qu'on trouve dans les effets indésirables des "idées suicidaires". Votre médicament est un poison, le lendemain de la prise du médicament lorsque j'ai dû rencontrer l'interne qui devait évaluer mon état, j'ai dû fournir un effort surhumain pour parler d'une façon cohérente. Sur ma feuille de liaison il est stipulé que j'ai "refusé la prise de sang" sauf que vous avez omis de préciser que j'ai été un rat de laboratoire pour vos débutants incapable de me piquer correctement, quatre essaies à l'accueil puis le matin au réveil deux essaies, sans succès. "Mais vous n'avez pas de veines mademoiselle, comment faites vous pour vivre?". Bonne blague, tout le monde rigole, roulement de tambour, rideau. J'ai eu la chance de ne pas avoir de bleus contrairement à d'autres patients. Certains membres du personnel sont aux petits soins tandis que d'autres se permettent d'être tyrannique parce qu'on ne peut pas leur répondre, au risque de prolonger notre séjour. Je me suis sentie comme dans une prison et je pèse mes mots."
"en tant qu'accompagnant et professionnel de santé travaillant en IME, le niveau de non-traitance et/ou de mal-traitance est inadmissible...comment aider les usagers/patients en souffrance psychique quand certains personnels ne sont dans une bienveillance indispensable...tutoiement, familiarités, infirmiers invisibles regroupés dans leurs "bureaux" ou squatant la tv...Médecins psychiatres absent des services remplacés par une succession d'interne quittant le service ou bout de quatre mois....patients en errance condamnés et enfermés dans leurs stéréotypies ou leur addiction à la cigarette...tabagisme passif incontournable pour les non-fumeurs...angoisses et terreurs noctures peu ou pas gérées par infirmiers de nuit qui eux dorment profondément il qu'il ne faut surtout solliciter au risque de les reveiller et de subir une colère injustifiée..pas d'activité sportive proposée car aucun personnel formé à l'encadrement de ces dernières...que dire Messieurs les cadres Psy et autres, ces pratiques asilaires sont une honte ..et correspondent à une époque révolue...la crise de la fonction publique hospitaliére ne doit pas se faire sur le dos des patients. Le défaut de moyen ne doit pas le pretexte à un laxisme ...heureusement que la charte du patient existe pour sauver les apparences mais elle ne pourra vous donner bonne conscience...N'avez-vous plus qu' un rôle politique et sociale, en traitant une polpulation ...Etes-vous devenus incompétents à soigner les patients? Une introspection corporatiste serait salutaire ou la spychiatrie disparaitra au bénéfice de centres fermés si cela continus...(et d'ailleurs combien de cas psy en prison?...)"
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