Éléa Santé - Dr MAZELIN - Centre du Sommeil & de Santé Mentale 344 Chemin de la Barrière, 83440 Montauroux, Var

"1ere visite mais tres bonne réception par une secrétaire qui a le sourire ( c'est rare ) et qui prend le temps d'expliquer la procedure a suivre . Le medecin , a l'heure , est a l'ecoute du patient ( moi ) Excellente impression ."

"Personnel professionnel et sympa. Bon accueil. Après le repas du soir bah c'est en format hospitalier. Donc prévoyez d'amener votre saucisson et aussi possible de se faire livrer des pizzas."

"Le Dr Mazelin ne respecte absolument pas les horaires des consultations et a largement Et systematiquement entre 40 et 60 mn de retard voire plus . Quand on exige de ses patients de respecter les RV , le praticien se doit de respecter un minimum ses patients ."

"Je suis patiente du dr mazelin depuis bientôt 2 ans impossible d avoir de rdv pour les troubles psychiatrique les troubles du sommeil on prit le dessus quand la secrétaire vous dit pour l ordonnance voyez votre médecin traitant désolée c est d une thérapie dont j ai besoin pas toujours de médicaments je suis très déçu"

"[Mes excuses pour la méthode - l'avis google - mais je ne savais pas comment faire, et je ne vois toujours pas comment, arriver à entrer en contact, directement, avec vous, pour entamer une conversation. En 2 ans de suivi, je n'y suis jamais arrivé ! Jamais sans avoir à expliquer, ré-expliquer, et partager, à une autre personne (parfois inconnue) des informations personnelles, à quelqu'un à qui je n'avais pas envie, sans être prêt, ou avec qui on est trop gêné ou embarrassé de le faire. De s'en remettre à outrance à des communications électroniques, asynchrones, est déshumanisant, enlève de la signigication, génère beaucoup de frustration et enlève du sens que seule la tonalité d'une voix humaine permet de convier. Par exemple, je n'ai jamais été, je n'ai jamais exprimé de l'hostilité, ni quelconque forme d'antagonisme, encore moins d'agressivité, à votre égard, ni quiconque de votre cabinet. Je ne suis pas de ce genre là, je ne l'ai jamais été, je ne le serai jamais. Je suis quelqu'un de calme, de zen, tranquille. Je suis tout doux moi ! J'étais convaincu que nos séances avaient suffisament permis d'établir celà... Et pourtant, à l'occasion de mes 2 dernières visites à votre confrères/voisins de votre cabinet, je me suis rendu compte que votre secrétaire "prend peur", va se réfugier dans votre bureau, en me voyant. Je n'avais pourtant fait que lui demander de vous transmettre une question (en profitant de ma visite), ou prendre un rendez-vous pour le faire moi même, en personne. En lisant votre réponse, tardive, et en me souvenant de ses réactions lors de ma présence (que je n'avais pas compris alors), je suis très fortement heurté, blessé qu'on aie réagi ainsi à mon égard, et qu'on m'aie causé préjudice en m'enlevant mon suivi psychiatrique, après 2 ans de suivi ! Je déplore énormément, aussi de n'avoir jamais pu vous joindre en dehors de nos séances. Car tous les patients ont besoin à un moment ou un autre de poser des questions directement (sans intermédiaire) à leur thérapeute, surtout en psychiatrie. Au lieu d'avoir simplement, paisiblement, et directement eu une conversation avec moi, (téléphone, mail, ...) d'ordre médicale (j'ai besoin d'informations qui ne sont pas dans votre rapport de toute évidence) autrement que par avis google interposé. Alors que ce serait beaucoup plus pratique de le faire directemen. Ce serait infiniment plus discret, et plus efficace, et surtout avec infiniment moins de risque de malentendus. Mais si celà est tellement inconcevable pour vous, et que vous persistez encore à dire que le tableau, à mon sujet, est tel que vous l'avez dressé dans votre précédent message (consigné dans les backups de Google Marketing) alors portez plainte ! Je vous en donne, ici, l'opportunité.] Voici où nous en sommes, après 2 ans de suivi psychiatrique, et une bonne relation thérapeutique, qui ont pourtant, donné des résultats satisfaisants [dont je ne me suis jamais plaint, ni critiqué], mis à part deux périodes de crise, passagères, rien de nouveau pour moi. Toutefois, au bout de la deuxième crise, alors que j'avais besoin d'aide, besoin de parler à mon psychiatre, au téléphone, ou de le voir, à une échéance rapptochée, pour des questions d'ordre médicales (privées), on me repproche désormais d'avoir raté précédent RDV, alors que j'avais attrapé le Covid (certificat à l'appui), et d'être dans un état "trop en crise" pour continuer d'être pris en charge à ce cabinet. En fait, j'ai été trop naïf, je n'avais pas compris, au début, que le problème entre nous, désormais, commençait avec la lettre M. (et je ne parle pas de votre nom). Il ne s'agit pas non plus d'un problème qui commence par R. (là, par contre, je parle du miens, puisque celle-ci est publique désormais). Cette transition m'avait en fait rangé dans une nouvelle "catégorie" humaine. Sans me métamorphoser... Car je suis, et je reste, toujours le même patient, celui qu'ils connaissaient depuis le début. Je pourrais contester tout ce qu'il a écrit de préjudiciable à mon sujet, mais bon... Maintenant que j'y suis, j'y reste ? (Vive la Begique !)"