Lycée du Sacré-Cœur 29 Rue Manuel, 13100 Aix-en-Provence, Bouches-du-Rhône

"Merci a ce lycee qui a fini par m’ammener dans la depression et les troubles alimentaires, mettez y vos enfants si vous voulez mais ne vous etonnez pas si ils ont besoin de prendre denormes rails de coke pour continuer a tenir le coup Et dedicace a Madame T. ma prof principale qui visiblement ne sait pas ce qu’est le deuil."

"Mon expérience au Lycée Sacré Cœur a été décevante. Tout se passe à une vitesse d'escargot ici, et les résultats académiques ne sont pas à la hauteur. L'ambiance est loin d'être top, et l'école ne semble jamais prête à nous aider quand on en a besoin. C'est frustrant. Ici bas, c'est comme si on jouait toujours à cache-cache avec les informations. On ne sait jamais ce qui se passe vraiment, et ça complique tout. C'est vraiment agaçant de ne jamais avoir les infos dont on a besoin pour avancer. Je recommende donc aux parents souhaitant inscrire leur enfant dans ce lycée de passer leur chemin."

"J'attendais beaucoup de ce lycée ou j'étais fière que mon fils puisse y étudier. Il y avait de bon retour des "très anciens élèves" de ce lycée. Nous n'avons pas eu de chance cette année alors. Un désordre administratif certain ..., puis .... année du Bac de Français la prof de Français absente 3 mois sans remplacement puis remplacée sur le tard. Mon fils qui a toujours eu la moyenne en Francais a vu ses notes dégringolées . Résultat : Mon fils n'a pas eu son bac de Francais, donc je rends en partie responsable le lycée de ce résultat."

"Lycée à taille humaine avec une équipe enseignante engagée. La devise "fait de ton mieux" résume bien l'état d'esprit exigeant mais bienveillant."

"En découvrant votre site un sentiment de nostalgie m'assaille. Le lycée d'aujourd'hui n'a rien à voir avec le collège où je fus élève de la 6ème à la 3ème, dans les années 1959 à 1962. Le Père Supérieur de l'époque, le "Picus" comme nous l'appelions, était l'Abbé" DESTHIEUX qui fut, par la suite, nommé curé de la paroisse Saint Jean de Malte. Je ne fus, sans doute, pas un très bon élève, préoccupé que j'étais, par des considérations artistiques picturales et musicales. Mes bulletins de notes étaient entachés de remarques faisant état de ma tendance à écrire de la musique durant les cours. J'ai collectionné les heures de "colle" et j'en garde aujourd’hui un souvenir ému. Faisant le désespoir de mes professeurs et de mes parents, je persistais dans mon travers "artistique" voulant démontrer, ce faisant, mon idée fixe de faire de la musique mon futur métier. Au sortir de la troisième j'ai eu raison de l'opposition parentale et suis entré au conservatoire à temps complet, finissant mes études secondaires par correspondance. Par la suite j'ai fait une carrière de compositeur et de directeur de conservatoire de musique. J'ai un grand regret cependant : celui de n'avoir pu, à l'époque, aller taquiner l'orgue de la chapelle !"