Centre Hospitalier 179 Rue du Docteur Grange, 73300 Saint-Jean-de-Maurienne, Savoie

"10h00 rendez vous pour une coloscopie 11h 15 toujours personnes pour prendre le patient arrête st jean de maurienne changée d actionnaires ou de directeur personnel non motivée par leur métier"

"Mon père 93 ans a été hospitalisé pour une insuffisance respiration en fin de journée. Il est monté dans l'ambulance en marchant.. 12 h plus tard vers 9h du matin un coup de fil nous apprenait son décès. Nous n' avons eu aucun coup de fil pour prévenir que son état s'aggravait brutalement. Dans la nuit ils ont pris la décision de le mettre sous morphine et hypnovel sans demander encore une fois l'avis de la famille. Lorsque tout de suite après son hospitalisation j'ai téléphoné le soir dans le service, l'infirmière m'a affirmé qu'il allait bien. Cela fait 3 ans qu'il est décédé et je n'ai toujours pas accepté sa mort dans de telles circonstances. Ce jour là nous l'avons forcé à allez se faire soigner car son quotidien depuis 20 était de prendre soin de sa femme handicapée et nous souhaitions à ce moment là qu'il se repose un peu et prenne enfin soin de lui. Je suis dans la santé et je trouve que l'euthanasie devient de plus en plus generalisée, surtout, on ne demande ni l'avis du patient et encore moins celui de la famille. Je tenais à écrire ce message car passé un certain âge ou une dégradation de l'état de santé avec une impossibilité de guérison, le risque de sortir par les pieds plus vite que prévu devient une réalité. Maintenant quand j'entends hypnovel morphine et bolus je sais à quoi m'attendre...."

"Suite à un accident moto arrivé avec une fracture non ouverte ressorti avec un staphylocoque doré, après deux mois bloqué pied en l’air dû être ré opéré. Plâtre fait complètement de travers,. Donc impossible de le garder. Chambre non nettoyer après un sortie un week-end. Besoin d’une HAD non mis en place, refus de donner les médicaments car il avais la volonté de ré hospitalisée. Service HAD incompétent.heureusement qu’il y avait le suivie d’une infectiologues de Chambéry qui a fait tous pour arranger les choses, aucune écoute du bien être dû malade. Honteux ont ressort d’une tel expérience plus fatiguée et dépitée par l’incompétence de l’hôpital que de la blessure en elle même ."