Hôpital de Jour du Parc - Association Rénovation 347 Boulevard du Président Wilson, 33000 Bordeaux, Gironde

"Un établissement qui effectivement comporte de nombreux défauts, mais qui permet aux adolescents en souffrances psychiques de poursuivre une scolarité et d'obtenir le BAC. Les différentes approches thérapeuthiques mises en place au sein de la structure seraient à revoir et ne comptez pas exclusivement sur ça pour garantir un processus de guérison, mais cette structure permet d'être dans un cadre rassurant, d'être entouré de professionnels plus ou moins à l'écoute et surtout de jeunes dans la même situation que vous. Cet hôpital est une béquille dont il faut se servir, piochez les bonnes choses qu'il y a à prendre car cet établissement en offre quand même un certain nombre. Personnellement, cette structure m'a permi de rebondir à une période de ma vie qui était très compliquée, et j'ai ainsi pu continuer mes études et obtenir un BAC + 5. Vous avez la chance que des environnements pareils existent, il faut la saisir."

"Très mauvais moment de ma vie (2012-15). Professeurs non pédagogues, médecin exécrable et insultant, harcèlement de la part de patients, hospitalisations incessantes à Charles Perrens pendant et après la période de prise en charge, prescription de doses excessives de médicaments, projets inadaptés pour la suite organisés dans mon dos en m'obligeant à les poursuivre même si ce n'est pas comme ça que c'est censé fonctionner... Le médecin était bien souvent à la limite de l'acharnement thérapeutique et l'a totalement été en organisant un rendez-vous clandestin plusieurs mois après ma fin de prise en charge. À déconseiller fortement, un vrai poison pour la scolarité, des ateliers obligatoires sans intérêt... Comment qualifier un professeur de mathématiques qui ne fait pas de leçons, passe presque tout le cours à faire des mots croisés dans le journal avec les élèves et se plaindre tout le temps d'avoir froid ou d'être enrhumé, posant juste quelques exercices au tableau sans faire de leçons alors qu'on est en seconde ?! En cours de physique-chimie aucune manipulation (TP). En cas d'allemand LV2, classe commune tous niveaux pour les rares élèves qui en font. Remplacement possible des "professeurs" (dont le vrai métier dans l'établissement est "éducateur scolaire") par d'autres qui cumulent les matières voire par un membre du personnel éducatif/infirmier. Aucun sérieux. Pour éviter de perdre votre temps et votre avenir, si vous allez mal, tâchez d'éviter ce lieu ! Si vraiment vous tentez l'expérience, prenez des cours de soutien à domicile le week-end lors des maigres vacances scolaires (qui n'aident pas du tout à se reposer au cours d'une longue année scolaire de 11 mois...) Les médecins proposent des traitements médicamenteux souvent très lourds et/ou sédatifs, très mauvais choix pour des jeunes qui sont censés apprendre et passer des examens. Les ateliers sont souvent priorisés par rapport aux cours , c'est dire si on est de loin bien plus dans un hôpital que dans un collège-lycée !!!! L'usage du tabac a priori interdit aux mineurs est mal encadré et cette différence apparaît comme discriminatoire auprès des patients. L' "accueil" du matin (sorte d'appel à l'heure d'arrivée) conduit parfois à des coups de fil pour absences aux familles à cause de certains professeurs qui veulent commencer les cours d'emblée et veulent donc qu'on manque cet accueil (ce qui ne convient pas au personnel éducatif). En classe bavardage autorisé, difficile aussi de se concentrer ! Les lieux sont très étroits et peu pratiques (une cage d'escalier a dû être sécurisée après une tentative de suicide, les toilettes sont mal réparties et en nombre très insuffisant, les salles de classe sont exiguës, si un niveau comporte 13 élèves, le dernier peut se voir se de table ! Lors de RDV entre le médecin et la famille, ou lors prise de contact en vue d'une éventuelle admission, il faut sonner et attendre qu'on nous ouvre, aucune salle d'attente digne de ce nom mais de simples banquettes dans le couloir sombre de l'entrée, pas de toilettes pour ces "visiteurs", et impossibilité de ressortir sans demander car la porte se verrouille dès qu'on la passe, vu qu'il n'y a pas de séparation avec le "lieu de vie" des patients ! Bilan psychologique obligatoire pour tout candidat. C'est un lieu de soin "en carton", pas prometteur, surtout pas scolairement ! Ambitieux de grandes études s'abstenir, surtout les scientifiques !! Les éducateurs, professeurs et psychologues sont néanmoins plutôt accueillants et chaleureux dans l'ensemble, contrairement à certains psychiatres. Les conflits entre jeunes sont omniprésents et incompris. Est sanctionné/disputé celui qui fait le plus parler de lui, peu importe son rôle dans l'histoire, et des sanctions disproportionnées peuvent s'appliquer. Favoritisme et contre-favoritisme sont courants. Harcèlement par les soignants en cas de refus de se rendre dans l'établissement. A bon entendeur. Thomas, l'un de ceux que ce lieu a le plus tiré vers le bas en allant bien plus mal au départ définitif qu'à l'admission."

"Pierre. Texte partie 2 : Ensuite manque de chaises dans la salle commune, problématique quand il pleut. Pour les personnes trans, non binaire etc... Aucun respect. On s'en fiche de leurs envies et besoin, et forcément ça créé des engueulades. La personne souffre déjà, pas la peine de lui rappeler son passé (donc son prénom de naissance). De la COMPRÉHENSION ENCORE. Pour ce qui est des psychiatre, bon globalement c'est pas le point fort. Certains sont bons et d'autres beaucoup moins. Pour le miens, très compréhensif et à l'écoute après pour d'autres moins. Même si il l'était pour moi, il Changeait radicalement sont comportements avec mes parents qui était juste inquiet, curieux et dans le doute et qui n'attendais que des réponses. Ils Ne se font prendre que de haut par les psychiatre très hautains. Sans doute ont ils oublié que les parents sont aussi des humains affectés par la santé de leurs enfants. Donc soyez compréhensif aussi avec eux. Pour ce qui est de l'obligation de dormir une fois par semaine dans un appartement, quand on est mineur c'est juste infernal. Impossibilité de sortir de l'appartement qui est petit. A partir de 22h je crois, obligation d'aller dans sa chambre, donc adieux le plaisir des rares bon films à la télé, et des Joies du portable car oui on leurs retire. Juste inconcevable. Donc merci pour les ruminages qui viennent encore plus tôt. Ensuite si vous êtes majeur c'est libre, bien sûr avec des horaires, mais l'interdiction par certaines éducatrices de manger par exemple des céréales le matin parce qu'elle estime que c'est trop riche. Et bien c'est juste frustrant. Et du coup on mange en cachette. Encore une fois inutile. Parlons des chambres sans coussin, avec un matelas très petit et très fin, donc le lendemain je vous raconte pas le mal au dos et jambe, bras. Très appréciable. Par contre étonnement, les patients, pour une grande partie sont moins ouverts d'esprit et qu'ils avaient de esprits de clans et de jugement facile. Difficile pour un nouveau de s'intégrer rapidement. Des moqueries et d'autres actes et paroles irrespectueuse font contraste avec l'idée du lieu. Quel dommage. Texte partie 2 finis."

"Établissement atypique. Méthodes spéciales avec des ateliers sans grands intérêts pour certains patients et peu diversifiés ou pas adaptés à tous. Quant aux cours nous verrons bien en fonction de l'évolution thérapeutique ou pas de notre adolescent. Mais des possibilités et des solutions sont proposées. Par contre les jeunes sont plus écoutés et compris que leurs parents qui se sentent insinueusement presque responsables de l'état de leur enfant. Sinon bon accueil."

"Établissement certes peu accueillant mais étant la seule alternative pour aider les adolescents en déroute. L’équipe pluridisciplinaire est compétente, et fait toujours les bons choix même si ils sont parfois excessifs et durent a accepté. L'environnement est souvent froid et peu accueillant, cependant l'équipe pluridisciplinaire ainsi que les professeurs y apportent un peu de chaleur par leur présence. En conclusion, endroit fortement conseillé pour donner une seconde chance à votre enfant et lui permettre de détenir le BAC, ainsi qu'un avenir plus certain."