DISPPAA Jonzac 17500 Saint-Martial-de-Vitaterne, Charente-Maritime

"Quoi d'autre ?"

"Très mauvais établissement, personnel aigri et irrespectueux des patients, ce qui compte là bas c'est le respect du Cadre comme ils disent..J'ai été viré de la cure du jour au lendemain, sans raison valable... je prenais trop de place,... aucune violence ni verbale ni physique, aucune consommation... en fait j'ai été viré car je suis arrivé en retard au cours de relaxation ! Alors qu'un co curiste n'a pas été viré après être rentré alcoolisé...la même semaine ! ce qui est une condition suspensive de cure en principe, c'est à n'y rien comprendre ! J'ai été lâché dans la nature après 18 jours de cure sans même un traitement médical pour soutenir mes efforts d'abstinence ni pour lutter contre l'état dépressif dans lequel je me trouvais ! Hop un taxi et retour à la réalité ! Et si j'avais craqué ? Et si je m'étais pendu par désespoir ? Heureusement le lendemain j'ai pû avoir un traitement d'appoint avec mon médecin traitant et un suivi psychologique avec une autre structure à Angoulême. Heureusement mes parents m'ont soutenu sans me juger alors que ma compagne a mis du temps à accepter que ce n'était Vraiment 'pas de ma faute' si j'avais été viré, au début elle était tellement déçue qu'elle m'a empêché de rentrer chez moi ! Là bas on m'a donné de faux espoirs, un jour on vous enscence et lendemain on vous traite comme une sous merde... Encore merci à toute cette équipe d'amateurs que l'on fait passer pour des sauveurs. Ce que j'ai appris dans cette histoire c'est que la seule personne qui peut vous aider face à une addiction, c'est vous même, bien évidemment il faut un cadre du soutien... Je suis abstinent à présent, mais pas grâce au Dispaa de Jonzac... Ça c'est sûr ! A la sortie je me suis débrouillé seul. Souvent je me demande si les frais des 10 jours de cure que je n'ai pas effectué ont étés facturé à la sécurité sociale, à ma mutuelle... On parle quand même d'environ 700 euros par jour ! Je suis prêt à parier que Oui. Ces gens selon moi se nourrissent de la misère des autres, pas tous bien sûr j'y ai aussi rencontré des thérapeutes sincères et impliqués, il faut le leur rendre. Aller...je ne citerai personne ni dans un sens ni dans l'autre. Mais je ne pardonnerai jamais la légèreté avec laquelle on m'a évincé de MON projet de me soigner et de devenir quelqu'un de meilleur. Yan"

"Pour se soigner et traiter au mieux la maladie alcoolique, le DISPPAA est LE lieu où se diriger!"