Policlinique René Angelergues 10 Rue Wurtz, 75013 Paris, Département de Paris

"Cette polyclinique est à fuir absolument. N'y mettez jamais un orteil ! Comment est-ce possible de fournir un tel service et se dire au service de la santé psychique du public ? ll s'agit d'un milieu carcéral. Un infirmier fouillait les affaires que ma mère m'apportait. Le psychiatre, un être humainement immonde et incompétent, m'a donné un médicament qui ne me convenait pas du tout, me rendait raide, et me causait un syndrome extra pyramidal. Il a accusé ma mère de choses horribles. Il avait beaucoup de mal à établir un diagnostic et tirait des conclusions hâtives sur la base de simples questions qu'il me posait. Le personnel est dans l'ensemble agressif et aussi perturbé que les patients. Aucune activité n'est proposée pour aller mieux. On erre toute la journée sans but, assommé par le valium et les autres médicaments. Les inscriptions de malades atteints gravement ne sont pas nettoyées et elles sont effrayantes lorsque l'on va mal. Il y règne une odeur fétide. Les chambres sont inconfortables...même pas de table de nuit. La douche est minuscule. RIEN N'EST FAIT POUR GUERIR !!! Au contraire, on se demande si tout est mis en œuvre pour aller plus mal. Mes parents ont eu du mal à m'extirper de cet enfer.. J'ai eu la chance d'être admis dans une clinique privée et j'ai guéri complétement en 1 mois. Le grand public ne sait pas ce qui se passe dans les hôpitaux psychiatriques publics ; c'est bien dommage et ils constituent une HONTE !!! On y est admis dans l'urgence et on doit subir des traitements inadaptés qui risquent de causer des dommages et des conséquences graves sur le cerveau, le psychisme et surtout qui empêchent notre guérison !!!!!!!!!!!!!!"

"Je partage la plupart des commentaires négatifs précédants. Le service est catatrophique. Je me suis rendu dans l'établissement car j'avais besoin d'une consultation d'urgence et le SAMU m'a orientée vers le service le plus proche de mon domicile. Aucune écoute aucune bienveillance ni respect envers les personnes. A FUIR Entre tous ceux qui crient dès l'entrée, on ne distingue pas qui est malade qui est le médecin..."

"Les médecins sont tout puissant, je crois qu'ils ont oubliés ce qu'est le consentement libre et éclairé du patient, le droit a accepté ou refusé tel soins. Si vous êtes en soins sans consentement je vous conseil de faire valoir vos droits même si on vous dit que ce n'est pas possible en psychiatrie, la loi est clair et les psychiatres ne sont pas au dessus contrairement à ce qu'il pense. J'ai été laissé du matin au soir, seul dans ma chambre sans me proposer à manger ni aucune visite de soignant, j'étais pas en isolement, non on m'as juste ignoré ou oublié."