PHARMACIE DU 58 58 Rue Oberkampf, 75011 Paris, Département de Paris

"Je suis passé demander si je pouvais me faire vacciner contre le COVID. Après 15 mn d'attente on me dit de revenir 30 mn plus tard, que cela se fait sans rendez vous. Je reviens 30 mn plus tard, j'attends encore 20 mn pour m'entendre dire que je ne serai pas vacciné. Les flacons étant multidoses, pour ne pas gâcher les autres doses. Je comprends bien l'argument mais alors pourquoi m'avoir fait revenir ! Totalement irrespectueux. L'accueil est en outre très moyen. Un pharmacien qui vous reçoit en machant ostensiblement son chewing-gum. Il y a beaucoup de pharmacie dans le quartier, fuyez celle là."

"Accueil très sympathique;personnel à votre écoute vous conseillant aussi bien qu'un généraliste pour moindre coût. A visiter sans hésiter bien à vous"

"Manque de franchise du pharmacien. J'avais RV pour une vaccination. "On ne fait pas de vaccination". Très surprise car Doctolib a confirmé la veille. "On ne travaille pas avec Doctolib". Je présente mon smartphone. "Les vaccins n'ont pas été livrés" Pourquoi ne pas l'avoir dit d'emblée ? Et je ne comprends pas pourquoi on ne m'a pas prévenue. Le pharmacien n'aurait pas accès aux RV validés sur Doctolib. Cela paraît peu vraisemblable..."

"Passée aujourd’hui pour me faire délivrer une ordonnance d’anxiolytiques et d’antidépresseurs prescrite à distance par mon médecin traitant. Je présente une ordonnance datée de mon médecin (consultée la veille par visio et envoyée par pdf via l’adresse mail officielle du cabinet) au pharmacien, un homme âgé, qui d’entrée de jeu secoue la tête, me toise et prononce la phrase suivante « on ne prend pas ça ici. » Interloquée, j’explique résider dans le sud la moitié de l’année et n’avoir pas réussi à trouver un rdv avec un médecin parisien à temps pour renouveler mon traitement qui doit être pris en continu sous peine d’effets secondaires néfastes. Il s’entête à me répéter qu’il ne prendrait que les « ordonnances originales », et ce sans se fendre même d’un debut d’explication qui pourrait m’éclairer sur la nature soit disant non originale ou non officielle du document que je détiens, qui naturellement en tant que patiente me parait être parfaitement officiel, parce que que je la tiens de mon médecin et qu’il apparaît présenter tous les cachets et autres codes barres d’une « ordonnance officielle ». J’offre d’abord d’imprimer l’ordonnance, puis d’appeler mon médecin sur le champ pour qu’il puisse obtenir confirmation. Il s’énerve, fais des gestes avec les bras, et répète sans cesse qu’il lui faut l’originale. Aucun tact (la conversation se fait à haut volume en pleine journée, tandis que des gens font la queue au comptoir attenant) ni pédagogie envers une personne qui a l’âge d’être sa petite fille et qui, comme la plupart de la population, n’est pas parfaitement au fait des législations pharmaceutiques. Je demande ce qu’il faudrait apporter comme gage de bonne foi (courrier de mon médecin?) pour qu’il me délivre mes médicaments et l’interroge sur la façon dont il gère la recrudescence d’ordonnances par mail depuis l’avènement des consultations zoom. Même réponse laconique et énervée, je quitte la pharmacie en lançant un bonne journée qui ne m’est même pas retourné. Comme je l’ai répété maintes fois ce matin, je comprends totalement que les pharmaciens soient soumis à des contrôles et mettent en place des protocoles pour éviter les dérives concernant certains types de médicament dans le but d’honorer leur profession et de préserver la réputation de leur officine. Je suis cependant atterrée que cet homme n’ai pas pu se contenir et communiquer de manière simple et professionnelle qu’il ne me délivrerai pas mon traitement, et surtout qu’il n’ai pas su m’expliquer calmement en quoi mon ordonnance n’était pas une « originale ». Je suis sous le choc qu’un pharmacien se permette de s’adresser de la sorte à une cliente. Fort heureusement, une autre pharmacienne du quartier s’est montrée compréhensive et m’a délivré mon traitement après avoir procédé à quelques vérifications de rigueur avec ses collègues. Je passe en suivant revoir le pharmacien du 58 pour lui apprendre qu’on a accepté mon ordonnance, mais surtout pour le confronter quand à son attitude odieuse. Il n’a rien voulu entendre, s’énervant encore et se bornant à me dire que je lui aurais fait répéter trois fois la même chose. Pour avoir travaillé en restauration et dans le tourisme, j’ai souvent eu affaire à des clients peu dégourdis et fort énervants, et pourtant je n’en suis jamais venue à employer un ton aussi dédaigneux et une attitude si visiblement condescendante avec eux. Le pharmacien va même jusqu’à soulever et lâcher bruyamment la boîte de xanax que j’avais posée sur le comptoir en m’enjoignant d’un ton presque moqueur de « prendre donc mon traitement puisqu’on me la donné » et de partir. Il est parfaitement inadmissible et révoltant qu’un professionnel de santé se comporte de la sorte et se permette un tel avec une patiente, que l’on peut qui plus est facilement deviner être fragilisé compte tenu des médicaments prescrits. Vous devriez avoir immensément honte, en particulier par des temps qui voient de plus en plus d’adolescents et de jeunes adultes suivis pour des troubles de santé mentale. Je vous souhaite de partir en retraite rapidement."

"Je prends le temps de poster ce commentaire car je suis très agréablement surpris par le service,la propreté et la gentillesse de cette pharmacie et de ses employés. rapport qualité prix épatant! professionnalisme au rendez-vous. gentillesse,agréable. un vrai plaisir. je RECOMMANDE!"