Centre Henri Becquerel 1 Rue d'Amiens, 76038 Rouen, Seine-Maritime

"On a détecté à ma mère un cancer du sein en 2019, elle a choisi d'être suivie au centre Henri Becquerel et nous n'avons jamais regretté ce choix. Nous avons rencontré des personnes douces, compréhensives, rassurantes. Je n'ai qu'un mot, Merci, merci merci"

"Ce centre fait partie de ceux où l'humanisme existe encore! Toujours bien accueillie et à l'écoute de vos questions où de vos craintes."

"On aimerait ne jamais avoir à aller dans ce centre mais la vie en décide parfois autrement. J'y accompagnais pour la première fois ma mère, nous étions au préalable angoissées mais l'accueil dès l'entrée a été formidable, ce qui a permis à ma mère de se détendre un peu. Gentillesse et humanité étaient au rendez-vous des personnels toutes catégories. J'ai senti ma mère entre de bonnes mains, ce qui m'a rassurée. Leur sourire aide face à la gravité de la maladie. Se sentir bien accompagné(e) est primordial dans le processus de soins lourds qui attendent un patient. Dans ce combat difficile, il est si important de se sentir entourée aussi de positivité. Alors merci."

"J ai fait mercredi une biopsie mammaire sous mammographie. Je craignais d avoir mal. Je suis tombée sur une équipe formidable qui me caressait le bras. Aucune douleur pendant ni après. Je suis enchantée. J attends le résultat mais le médecin m a beaucoup rassuree sans que je ne lui demande rien. Seul bémol 45 mn d attente dans la salle d attente. Je conseille vivement."

"Je vous recommande de ne pas vous faire soigner ici. Pendant plus de deux ans, ma mère a été suivi par le Dr Olympios, qui manquait cruellement d'humanité. Chère docteur, même quand vos patientes sont extrêmement malades, il ne convient certainement pas de leur dire au début de la découverte de leur pathologie, qu'elles ne gueriront jamais ; sauf si vous souhaitez les marqués irrémédiablement du sceau de la mort. Cela ne se dit pas, même si cela est votre vérité : au proche peut être, mais ma mère a été brutalement meurtrie par ces mots. Cela ne l'a pas aidé à se battre, bien au contraire, alors qu'elle était une guerrière de lumière comme nous n'en voyons plus ou peu. Le suivi était médiocre voir quasi inexistant. Il fallait sans cesse courir après les informations. Vous ne sembliez pas pouvoir vous concentrer sur son cas en particulier avec des oublis récurrents de sa condition ou de ces traitements. Ce n'est guère étonnant dans cette usine à malade, ou le personnel médical est peu agréable, si ce n'est au dernière étage, ou les gens sont hospitalisés et ou le personnel m'aura etonné et accompagné convenablement, et encore. Par contre, en chimio, les filles sont peu recommandables pour la plupart et ma mère angoissait de les voir tellement certaines pouvaient mal nous parler et enchaîner les malades et les soins avec si peu de compassion, ou de bienveillance. Une once de gentillesse au moins aurait été bienvenue. L'organisation générale est à revoir également et participe à cette prise en charge délétère, avec une attente infinie pour les malades, parfois dans le hall d'attente pendant des heures a cause d''un oubli de rendez vous, malgré un handicap lourd du a la maladie, d'une chambre pas preparé, d'un manque de communication interne. Ma mère faisait une heure de route pour venir au centre, dans de mauvaises conditions d'ailleurs, et cela l'epuisait énormément alors lorsqu'elle venait et qu'on l'oubliait sur une chaise, c'était clairement pas poimssible. C'est déplorable tout ceci, et tant et plus, et je sais la crise de l'hôpital public, les difficultés des soignants surchargés et le manque de moyen : j'en veux autant a la direction du centre qui manque de capacité de gestion correct et de clairvoyance, qu'a l'État qui laissent les gens (les gens pauvres) à l'agonie dans le plus parfait des calmes. Quel ingrat me dira-t-o, nous avons un merveilleux systeme de sécurité sociale en France ! Encore heureux parce qu'avec tout ce que j'ai vu, nous ne sommes pas loin de laisser les miséreux crever dans les caniveaux. Encore heureux que nous ayons ce système... Je n'imagine pas l'enfer ailleurs mais je préfère espérer tendre à mieux, sans comparaison hâtive avec d'autres fonctionnement qui seraient moins bons. Le pire, c'est que ça existe et que nous tendons à imiter ces pays où il n'est pas possible de soigner un être humain avec décence et compétence. Je vous souhaite de vous faire soigner au mieux, avec humanité, dans un lieu qui vous traitera avec dignité et au moins, qui vous traitera avec les bons remèdes et ne laissera pas, comme ce fut le cas pour ma mère, plusieurs mois passés avec un traitement inneficace, permettant au cancer de se répandre sur le foie, puis prenant des mois à decider de la marche à suivre, lorsque le taux de bilirubine à commencé à devenir important, et ceux malgré les alertes et sollicitations de ma mère, évidemment pas entendue et encore moins aidé. A ce stade, je considère que cet hôpital et ce pays ont contribué à son décès, à 54ans, plus qu'à sa guérison. Ils essaient bien sûr, pour dire, on aura essayé. Mais c'est insuffisant. Il faut faire et ne plus tenter de faire. Commençons par leurs donner des moyens, par ouvrir d'autres lieux de guérisons, par mieux former les soignants. Les patients et patientes le méritent et l'argent, il y en a suffisamment qui circulent pour cela. Bon courage à vous qui aurait pris le temps de lire ces quelques mots. Vraiment."