Centre Psychothérapique Henri Theillou 24 Rue du Fonds Pernant, 60200 Compiègne, Oise
À propos
Le Centre Psychothérapique Henri Theillou est un établissement de santé situé à Compiègne, au 24 Rue du Fonds Pernant. Cet établissement est reconnu comme un point d'intérêt majeur dans la région, offrant des services hospitaliers de haute qualité dans le domaine de la psychothérapie. Notre équipe de professionnels qualifiés est dédiée à fournir un soutien thérapeutique et des soins de santé mentale exceptionnels à nos patients. Nous offrons une gamme complète de services, y compris des thérapies individuelles et de groupe, des programmes de traitement spécialisés et des services de soutien pour les patients et leurs familles. Notre objectif est d'aider nos patients à surmonter leurs difficultés et à retrouver une meilleure santé mentale. Nous sommes fiers de notre engagement envers l'excellence clinique et le bien-être de nos patients. Nous sommes impatients de vous accueillir au Centre Psychothérapique Henri Theillou et de vous offrir le soutien dont vous avez besoin.
Avis
"aggrave l’état des soignants plus qu’il ne soigne, manque de respect en vers les résident, rabaissement, pressions psychologiques, une enquête devrait être effectuée !"
"Subir des pressions psychologiques pour sortir d'hospitalisation en vous faisant comprendre que vous n'êtes pas légitime d'être hospitalisé. (diagnostic quelques semaines auparavant : décompensation anxio-dépressive) Revenir après une semaine à ne pas céder aux pulsions pires encore qu'à l'arrivée. Aux urgences, une soignante qui vous regarde et vous rie au nez avec un ton infantilisant "vous êtes sûr que vous voulez pas revenir pour être avec votre petit copain?" (oui pcq c'est vrai que c'est le club med. Être enfermé sans activité, sans interaction, sans but ni objectif avec aucune thérapie..) Rencontrer le psychiatre de garde qui lui aussi affiche un rictus qui ne le quitte pas. Lui exposer que l'on a des pulsions suicidaires permanentes et que l'on s'abstient à chaque seconde de ne pas mettre en pratique l'un des multiples scénarios qui tournent en boucle dans notre tête du matin au soir. Pour qu'il me dise "vous avez pensé à contacter le cmp pour voir une psychologue ? Je ne peux pas vous hospitaliser car il faudrait que ce soit une urgence et ça n'en est pas une"...etc Repartir en voiture en ayant qu'une pulsion irrépressible, se foutre dans le décor. Dieu merci un ami de l'hôpital psychiatrique ma soutenu via téléphone à ce moment, j'étais effondrée. C'était mon dernier espoir pour ne pas perdre la vie et on me traitait encore comme insignifiante. Alors j'ai prit mon courage à deux mains et j'ai attendu le lendemain pour me faire hospitaliser par un autre psychiatre qui elle n'a pas attendu une seconde et à bel et bien confirmé que c'était sans AUCUN doute une urgence vitale. Lors de ces hospitalisations, Pas une fois on ne m'a demandé comme je me sentais. Enfin si le classique "ca va" de courtoisie. Pas celui d'un soignant. Le traitement n'a jamais été évalué et réadapté. La psychiatre quasi impossible à voir. Quand vous le voyez on vous fait entendre que vous n'avez pas de problème. Qu'il faut patienter. La psychologue quand vous lui raconter vos violences conjugales et surtout l'épisode le plus violent que vous avez subies, (qui soit dit en passant vous a valu 3 ans de stress post traumatique chronique même pas détectée au sein de l'hospitalisation) vous répond "ça fait bobo au cœur une rupture", avec un sourire infantilisant une fois de plus, avec les termes exactes et infantilisant que je viens de citer. Lui répondre "non ce qui fait mal c'est d'être détruite par un pervers narcissique et d'être tabassée." Une soignante qui divulgue mes informations confidentielles avec mon entourage toxique (responsable de mon état de santé)à mon insu, sans mon consentement. Lorsque je sollicite la venue du psychiatre de garde pour sortir de l'hospitalisation tellement je ne me sentais plus en sécurité, le même qui m'avait refusée l'entrée car je n'étais pas une urgence, me refuse la sortie :"un coup vous voulez rentrer, un coup vous voulez sortir, il faut savoir" en rigolant. Un mois s'est écoulé entre temps..... Monsieur me dit que je dois attendre le lendemain matin pour pouvoir sortir. C'est ILLEGAL. "l'hospitalisation libre" prévoit de laisser la liberté à la personne hospitalisée de son plein gré le droit de sortir n'importe quel jour et à n'importe quelle heure. Ce même jour un autre individu est sorti car il a menacé de contacter son avocat. Celui ci a donc obtenu sa sortie dès la venu du psychiatre, et moi j'ai attendu le lendemain, 9h. Pour une tiers personne, ils l'ont fait attendre jusqu'à 16h le demain pour sortir. Après avoir signé ma décharge la soignante qui avait déjà violé le secret professionnel s'est permise de me retenir physiquement DE FORCE, de prendre mes affaires pour partir et de les appeler à mon insu une fois de plus, pour me faire attendre leur venue pour enfin me laisser sortir. Et j'ai omis de nombreux détails pour que le texte ne soit pas trop long sinon il est impossible de le publier. Le plus simple ça reste de déménager plutôt que d'être attribué à ce centre."
"A chaque fois que j'appelle pour avoir un renseignement, on me dit qu'on va me rappeler et je ne suis pas rappeler. Je me demande si je ne suis pas oublié..."
"Les locaux sales,la salle de bain et chambre crades. Les infirmières aimables comme des portes de prison. On nous prends pour des moins que rien. Je déconseille."
"Ma fille a été mal traitée avant d’être internée (bouffée d’angoisse) Elle a été violentée lorsqu’elle a fait une crise : 2 infirmières l’ont tenue, griffée lacérés. L’acte était horrible à voir Les autres infirmiers sont venus pour me sortir de la pièce en me bousculant Je ne sais pas s’ils sont médicalement compétents mais ils sont humainement très incompétents"
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