École Nationale Supérieure Des Arts Et Industries Textiles - Université de Lille 2 Allée Louise et Victor Champier, 59100 Roubaix, Nord

"Lieu magnifique, idéalement situé au centre-ville de Roubaix (métro et bus). Des formations de qualité de haut niveau connues et reconnues. A visiter !"

"Je ne pensais pas écrire cela un jour mais... Je suis plus que déçu par cette école. La gestion de la vie étudiante, des plannings, des stages est proches du néant. Mon avis en rejoint d'autres : il n'y a que très peu de suivi de étudiants et le côté pédagogique est inexistant. Il a fallu faire des pieds et des mains pour obtenir mon contrat d'alternance signé en temps en en heure auprès de l'administration... En cas de besoin ou d'imprévu, les délais de réponse sont à rallonge. Au final, il faut s'en cesse relancer, être dans un rapport de force pour obtenir quelque chose d'assez simple finalement. D'autres personnes ont eu des soucis similaires voire pires."

"Mépris des étudiants. Les journées portes ouvertes ne sont que de la poudre aux yeux pour les visiteurs. Ce qui se passe dans cet école est inacceptable : aucun suivi des étudiants, des menaces, impossible de rencontrer le directeur de l'école..."

"Beau bâtiment et événement organisé par « la maison de la mode » regroupant des créateurs de la région super sympa!"

"Une École bas de gamme. Bref à fuir comme la peste et le cholera réunis !!! Enseignements médiocres et aucun suivi des étudiants. Je le déconseille vivement. La plupart des maître de conférences n'ont aucune pédagogie dans l'enseignement. Ils crachent les cours, TD ou TP et sortent de l'amphi sans se sourciller des étudiants. Par contre, j'ai remarqué qu'on comprend mieux les cours avec les professeurs certifié ou agrégés car ils sont mieux expérimentés que ces jeunes chercheurs (soit!) qui n'ont aucune expérience dans l’enseignement. Un point important : celui de la formation tant en enseignement qu'en recherche. Il est tout à fait anormal que les universitaires n'aient reçu aucune formation pédagogique. Certains maître de conférences, recrutés dès le passage de leur thèse, ont une spécialité tellement "pointue" qu'ils seraient même incapables d'enseigner à des élèves de terminale de lycée. Ce phénomène est ensuite accentué par le désintérêt lié au fait que seuls les travaux de recherches sont pris en compte pour obtenir une promotion. Le CAPES ou l'agrégation semble être le niveau minimal requis, ce qui est loin d'être le cas actuellement précisément ils ne sont pas pris en compte dans l'évaluation de chacun (alors que c'est le cas dans les Universités anglo-saxonnes)."