Ecole Supérieure Européenne de l’Intervention Sociale (ESEIS - site de Strasbourg) 3 Rue Sédillot, 67000 Strasbourg, Bas-Rhin

"cette école ne mérite pas la note 1 étoile, seulement les élèves mécontent.e.s en mettent. alors je veux mettre un bon avis parmis tous ceux là. l'organisation certes est à revoir oui, c'est énervant d'avoir des informations un peu au dernier moment. mais ça n'est pas tout ! les formateurs.trices sont très à l'écoute de leurs étudiant.e.s, les intervenants et leurs cours sont tres interessant et bien choisis par nos formateurs.trices. et le centre documentaire au top (avec des documentalistes vraiment sympathiques). bref, je voulais aussi dire les points positifs de cette école."

"Impossible de les joindre, c'est fou quand même ! Ils sont soit en vacances, soit absents exceptionnellement, soit en télé travail, soit carrément ils me raccrochent au nez. Et quand j'ai la chance de les avoir en ligne, il ne faut surtout pas trop les déranger, je n'ai le droit à aucune politesse et on répond à peine à mes questions."

"Centre de formation toujours en crise (ça fait 5 ans) , qui reste fidèle à sa réputation : impossible de les joindre au téléphone malgré mes 1001 tentatives. Je tombe sur le répondeur qui m'informe que le standard est exceptionnellement fermé le 29 aout. Euh nous sommes le 1er septembre! Ce n'est pas très sérieux. Par mail. c'est pareil, pas de réponse! Organisme de formation à fuir."

"École catastrophique, manque de communication, démissions répétées. Des cours non assurés. Des examens remplacés par d'autres au dernier moment, changement des dates.... Bref.... fuyez cette école"

"Accueil téléphonique des plus déplorable ; je pose plusieurs questions à la dame qui me répond qu’il faut voir sur le site , je voyait qu’elle était embarrassée de ne pas savoir répondre à mes questions;et il y a de quoi !!!! Comment on peut recruter des personnes aussi incompétentes !! De plus, elle m’a raconté n’importe quoi par rapport à un diplôme qui n’existe même plus,et m’a donné un numéro de téléphone qui finalement n’a rien à voir avec le renseignement que je lui avait demandé, elle voulait juste pouvoir se débarrassé de moi et retourner à ses occupations qui sont de boire le café et de papoter entre collègues ! Pitoyable..."