Hôpital Lucien Boissin Rue de Pont Poiroux, 49160 Longué-Jumelles, Maine-et-Loire

"Une horreur. Ma mère y a séjourné pour sa convalescence. Le premier jour de son arrivée, laissée sans surveillance, elle a dû aller aux toilettes toute seule et a chuté. Fracture du col du fémur. Après s être faite opérer, à son retour, les médecins ont decidé d arrêter son traitement pour son insuffisance rénale, son insuffisance cardiaque et son diabète. Pretextant que ses "taux étaient bons". La kiné l a très mal traité pendant tout son séjour. Bref, si vous voulez vous débarrasser de vos anciens, mettez les dans ce et établissement. Personnellement, j en ai sorti ma mère."

"Personnel très impliqué. Fais ce qui peut. Merci"

"ma mère y a sejourné pendant 26 mois elle se plaignait de tout, du personnel,des repas, une douche tout les 15 jours enfin rien de bien dans cet établissement je souhaite à personne d'y mettre ses parents"

"Les chambres sont magnifiques mais Alors...alors que l'hôpital manque d'effectif et qu'on nous dit sans cesse "on n'a pas le temps de répondre à toutes les demandes, désolé on était occupé avec un autre patient... qu'il faut attendre au moins 15mn avant d'avoir un urinal et que de ce fait le patient est obligé de s'oublier dans son lit et qu'ensuite on lui dit alors qu'il est souillé dans son lit " pas grave ce n'est pas une urgence il faut que vous attendiez, essayez de dormir!!..que vous en tant qu'aidant vous essayez de pallier à ces restrictions budgétaires et ce manque d'effectifs...et bien vous vous faites menacer de sanctions d'expulsions pour vous et le patient si vous venez en dehors des horaires de visites pour aider votre proche à déjeuner afin qu'il retrouve une santé le plus rapidement possible et ne se sente pas démoralisé par les absences du personnel. Et bien non, je dis que dans ces conditions il s'agit de maltraitance à patient mais également maltraitance au proche qui se retrouve refoulé dans ses attentions. Au lieu de cela on préfère isolé le patient qui perd le moral et lui dire "Vous allez prendre un antidépresseur ça vous fera du bien, et puis un somnifère et puis vous allez mettre une protection comme ça vous pourrez faire dedans...et puis et puis et voilà comment on soigne mais qu'on maltraite aussi. Je suis outré. Le jour où les hôpitaux ne seront plus en restrictions budgétaires les familles pourront respecter le règlement intérieur des visites."

"Je suis absolument scandalisée par l'attitude du personnel soignant en place dans le service où séjourne ma mère à l’hôpital de LONGUE JUMELLES. A chaque fois que je viens voir ma mère à des heures variables, une dizaine de personnels soignants se trouvent concentrés dans un staff en verre près de la terrasse ; ils ne font absolument rien d'autre que de rire, boire du café. Lorsque je frappe à la porte je remarque leur regard excédé, outrés que l'on puisse les déranger. La vision de cette masse de personnels concentrés dans une posture désinvolte est vraiment parfaitement choquante pour les visiteurs. Alors que tout ces personnels soignants ne font absolument rien que de s'amuser, j'ai pu remarquer plusieurs fois que la voisine de chambre de ma mère appelle à l'aide placée en permanence sur une chaise percée inconfortable. Elle dit d'une petite voix « il y a quelqu'un » ; quand elle me voit « ha oui il y a une dame, s'il vous plaît ». Je rentre et lui dit que je ne peux pas la relever hélas. Quant à ma mère qui se déplace en déambulateur, depuis 15 jours personne ne l'accompagne en dehors de sa chambre notamment pour aller se rendre sur cette magnifique terrasse d’apparat absolument vide de malade qui a du coûter une vraie fortune au contribuable. Normal ces personnels soignants préfèrent passer des heures à bavasser dans leur staff plutôt que de prendre la peine de sortir à l'air les malades. Ma mère attend en vain depuis 15 jours que le kinésithérapeute lui prodigue sa première séance. Je pense qu'il fait partie de la troupe euphorique du staff en verre... Mais le pire, ma mère sortante dans les prochains jours on me téléphone pour me dire que sa sortie se fera à 11heures le matin. J'explique alors qu'il est impossible pour moi de venir avant midi car je travaille et que je ferai sa sortie entre midi et treize heures. On me répond alors que c'est le médecin qui a indiqué 11 heures et que si je veux que cette heure soit modifiée il faut que je prenne contact avec lui. Je sais que le bureau du médecin se trouve à quelques mètres du fameux staff en verre et je demande si il ne serait pas possible qu'une personne se déplace (de quelques mètres) pour aller demander au médecin de modifier l'heure sur le bon de sortie. Réponse NON catégorique et puisque c'est ainsi on commandera une ambulance pour le transport ! Qu'importe d'économiser les deniers publics sur un trajet, ils sont déjà en surnombre à ne rien faire. Je me suis fâchée en expliquant que plusieurs fois j'ai vu une dizaine de personnels concentrés dans le staff à ne rien faire et qu'il ne serait quand même pas impossible d'en extraire un du bocal pour qu'il se déplace de quelques mètres. Réponse NON et l'on m'a raccroché au nez ! J'ai rappelé le service en demandant comment contacter le directeur de l’hôpital et quel était son nom. Sur internet m'a ton dit en me raccrochant une deuxième fois au nez. Mais mon petit coup de colère a fait son effet car quasiment immédiatement le kinésithérapeute s'est enfin et pour la première fois présenté dans la chambre de ma mère en lui disant que demain il allait la faire marcher sur la magnifique terrasse d’apparat. Voilà plus de quinze jours qu'il devait venir... J'ai une pensée émue pour la vieille dame placée en permanence sur sa chaise percée inconfortable et j'espère que mon intervention aura fait qu'une de ces personnels inutiles du staff sera venue la remettre dans son lit... Gabegie de personnels soignants dotés d'une absence totale de conscience professionnelle, c'est tout ce que vous trouverez dans le nouvel hôpital de LONGUE JUMELLES ; les mêmes personnels qui défileront dans les rues pour se plaindre de leurs conditions de travail ?"